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BLOG D’INFOS DU VALAIS TECHNOLOGIQUE, INDUSTRIEL ET INNOVANT

15.01.2018

L’Arkathon Hacking Health Valais : beaucoup d’échanges et… du fun !

ACTUS

Le hackathon organisé à Sierre en avril dernier par The Ark et animé par Swiss Digital Health a permis de nombreux échanges entre les participants et de bons moments de « fun ». C’est ce qui ressort des avis recueillis parmi certains participants. C’est particulièrement vrai pour l’équipe lauréate du prix « Best Effort », qui a travaillé sur le projet « C’est quoi cette pilule ?». L’espace d’un week-end, ce projet a réuni des étudiants de la HEI de Fribourg, de l’EPFL et des HUG (Genève). Ceux-ci ont su collaborer étroitement afin d’aboutir à un résultat probant. L’Arkathon Hacking Health Valais, dont la prochaine édition aura lieu du 23 au 25 mars 2018 à la SUVA à Sion, permet de faire avancer la santé digitale de demain, le tout dans une ambiance décontractée.

« Je garde un excellent souvenir de cet Arkathon : le coin était joli, le hackathon bien organisé, la nourriture était excellente. L'ambiance ressemblait au mélange de celles d'une lan party et d'une compétition informatique, ce qui n'était pas pour me déplaire », note Quentin Ligier, qui prépare actuellement sa thèse de master à l’EPFL au sein de la section de génie électrique et électronique. Ce dernier était membre du projet « C’est quoi cette pilule ? ».

« Il s’agit d’un souvenir positif, dans une ambiance agréable et avec une bonne organisation », note pour sa part Jérôme Dufour, diplômé de l’EPFL en physique. « Un travail collaboratif très étroit et très peu de sommeil : c'était bien marrant », renchérit Sacha Jörg, qui travaille aujourd’hui chez InnoPark Suisse SA.

 

Etudes variées
La répartition des tâches au sein du groupe s’est faite plutôt facilement, malgré le fait que les membres du groupe ne se connaissaient pas avant le début du hackathon. « Nous avions des études assez variées (physique, médecine, informatique, traitement du signal, etc.) et chacun a pu travailler sur ce qui l'intéressait. Au final, cela s'est fait naturellement, signe que nous nous étions bien trouvés », précise Quentin Ligier.

« Nous étions venus à Sierre pour gagner en expérience. Au sein du groupe, nous discutions ensemble de tous les problèmes, on travaillait à plusieurs sur tous les points parce que ça nous intéressait tous et que c'était l'occasion de partager notre savoir entre membres. Cette approche est gratifiante. Il me reste au final un bon souvenir, de la fierté personnelle et de nouvelles connaissances. Le projet a été mis pour l’instant en stand-by, en raison des études à terminer. C’est au final une superbe expérience et je recommande dans mon entourage d’en faire autant », conclut Sascha Jörg.