Zoom sur trois start-up qui mettent en lumière le Valais innovant !
La semaine dernière, la une du Nouvelliste s’attardait sur les start-up valaisannes qui « cartonnent ». Citée à plusieurs reprises, la Fondation The Ark joue un rôle important dans le succès que rencontrent aujourd’hui ces jeunes pousses. On y apprend également que des programmes comme le First Venture, la Bourse The Ark ou le Prix Créateurs BCVs facilitent le développement des jeunes entreprises et leur donnent une certaine crédibilité.
Nivitec, Dynablue et LCA, ces trois start-up issues de la Haute Ecole d’Ingénierie (HEI) ont remporté le programme First Venture de la Fondation Gebert Rüf, qui cible les étudiants des hautes écoles. Un taux de réussite de 100% pour les candidats valaisans qui s’explique notamment par la mise en place, par la HEI, d’une stratégie spécifique, il y a moins d’une année.
« La HEI a érigé en système quelque chose qui se faisait coup par coup. Désormais, les talents et les idées sont détectés en amont », explique Frédéric Bagnoud, secrétaire général de la Fondation The Ark. Les jeunes pousses le reconnaissent volontiers le soutien apporté est une chance incroyable. « Sans le réseau mis à disposition par l’école et la Fondation The Ark, ça aurait été beaucoup plus difficile », reconnait Mélinda Uccella de LCA.
Trois jeunes pousses qui œuvrent dans des domaines totalement différents !
La start-up LifeCellAgglutination (LCA) ambitionne de diminuer les coûts engendrés pour la détection de maladies infectieuses et de certains cancers, en utilisant une nouvelle méthode de diagnostic, à partir d’une goutte de sang. Porté par Mélinda Uccella et Cindy Weber, toutes deux diplômées en technologie du vivant, le projet devrait aboutir à un prototype fonctionnel d’ici un an.
Les deux ingénieurs Vincent Bontempelli et Jonathan Michel ont choisi de se joindre à l’économiste de gestion Stéphanie Ferreira dans le cadre de l’option « Business Expérience », proposée par la HES-SO. C’est ainsi qu’est née Nivitec, une start-up qui développe des drones capables de retrouver les personnes emportées par une avalanche. En diminuant la durée des recherches, ce drone pourrait décupler les chances de survie des victimes d’avalanches !
Dynablue est la première start-up issue de la collaboration HES-EPFL. Pour son travail de bachelor, Edouard Baer est amené à collaborer avec Steve Joris, chercheur en énergie des matériaux. Ensemble, ils développent un capteur de flux thermique, qui mesure la quantité d’énergie qui traverse une surface et détermine la perte d’énergie. Les deux cofondateurs viennent de terminer la première phase avec un appareil qui envoie les résultats par wi-fi.
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Source : Le Nouvelliste